Dans ce quinzième livre de l'Abécédaire, Malincoolique nage dans le liquide originel des idées créatrices : l'ombre.
Ces idées sont comme autant d'embryons qui s'ébattent en désordre.
Les saisir, les poser devant lui, les coucher clairement, limpidement, sur ce papier blanc qui reste désespérément blanc.
Fuyante et insaisissable, où se dissimule l'essence des choses ?
Derrière cette ombre qu'il n'écarte pas encore ?